Je suis la Reine Badiane. Maintenant que ma douce Chibiusa a repris connaissance, elle va visiter mon pays de merveilles.
« Regarde bien, ma jolie. » Lui dis-je tout en écartant mes jambes. « Regarde ce beau trou, mon pays des merveilles. Tu vas le visiter. »
La femme aux cheveux rose, prisonnière dans ma main gauche de géante, me regarde d’un air autant surpris que terrifier. Je rigole.
« Allons, ma chérie, ce n’est pas si difficile. » Je l’approche de ma chatte. « Entre dans mon trou. » Je la jette à l’intérieur.
En sentant son corps tomber, rouler en moi, je gémis.
« Ouiiiii! Déplace-toi, ma douce Chibiusa. Je veux que ton corps doux et sucré me mouille de l’intérieur! »
Je sens son corps se lever, ramper en moi. Mon pays des merveilles vibre, se mouille, à chaque fois que Chibiusa dépose ses mains et ses pieds vers l’avant. Je gémis encore une fois. Quelle sensation merveilleuse!
« Chibiusa, oh Cihibiusa, lèche-moi, fais-moi jouir! »
Contre toute attente, la femme aux cheveux roses m’obéit. Sa langue, minuscule, fait des miracles sur mes murs internes. Je me mouille de plus en plus.
« Ohhh, je vais craquer et jouir! »
Je hurle de plaisir et je jouis. Chibiusa, toute pleine de mon jus d’amour, sort de mon tunnel. Elle semble à bout de force. Je m’empare de la femme aux cheveux roses et, malgré ses cris et ses pleurs, ma langue la nettoie jusqu’à ce que son corps doux et sucré soit propre. Je porte une attention toute particulière à sa chatte. Elle doit être parfaitement propre pour que je puisse la mouiller en la frottant avec mon index. C’est ce que je fais par la suite. L’index de ma main droite frotte sa chatte sucrée et Chibiusa gémit. Oh, j’aimerais tellement pouvoir entrer mon doigt en elle! Je parviens, malgré tout, à entrer la pointe de mon ongle. Je doigte sa douce chatte de cette manière jusqu’à ce qu’elle jouisse, puis je dépose mes lèves sur son ventre, sur ses seins. Je l’embrasse, encore et encore. La pointe de mon ongle se mouille du jus de ma belle Chibiusa.
« Tu es mienne, Chibiusa, MIENNE! »
Je continue de jouer avec son corps jusqu’à ce qu’elle perde connaissance, à nouveau. J’avais encore frotté ses mamelons et ses fesses. Tout en la regardant, je ris doucement.